19 Avr Celtikipooh, illustrateur de la Malédiction de Bastet
La semaine dernière nous vous présentions notre travail d’auteur de murder party. Outre l’écriture de l’histoire, nos enquêtes nécessitent d’être illustrées afin de donner vie aux personnages et de proposer une ambiance dans laquelle les joueurs pourront se projeter pleinement.
C’est l’illustrateur Celtikipooh qui s’est occupé de mettre en image l’univers de La Malédiction de Bastet et nous avons décidé de lui donner la parole et de vous faire découvrir son travail.
Qui se cache derrière Celtikipooh ?
Celtikipooh : Je suis un autodidacte, passionné par le dessin et la pop culture. Toujours accompagné de feutres et de crayons, je suis un enfant du Club Dorothée, bercé par les animés et les séries qui achèveront de me faire basculer dans la créativité.
J’ai fait des études d’informatiques et j’ai embrassé la carrière d’ingénieur, sans pour autant abandonner le dessin !
Comment t-es tu dirigé de manière plus sérieuse dans l’illustration ?
Celtikipooh : J’ai toujours dessiné, mais ces dernières années, j’ai relevé quelques défi comme l’Inktober qui vise à produire un dessin par jour du 1er au 31 octobre avec des contraintes différentes chaque année. J’ai publié mes dessins sur mon Instagram notamment. Ce défi m’a prouvé que j’étais non seulement capable de sortir de ma zone de confort en matière de dessin mais aussi de prendre beaucoup de plaisir à exploiter d’autres techniques et d’autres thématiques. J’ai poursuivi par l’illustration d’une BD avec Lovarte et Théo Toniolo.
Peux tu nous parler de ta BD ?
Celtikipooh : C’est une bande dessinée érotique. L’histoire d’Alicia, une jeune femme en pleine découverte de sa sensualité et de son désir. Elle rencontre un personnage très magnétique qui va bousculer son existence. C’est surtout une bande dessiné sur l’épanouissement et l’acceptation de sa féminité.
Qu’est ce qui t-a plu dans le projet La Malédiction de Bastet ?